« La Suisse a fondamentalement besoin d’une loi permettant la récolte d’informations ; d’où la nécessité de la nouvelle loi sur le renseignement », a déclaré Jean-Luc Vez, à l’occasion de la cinquième table ronde au Club suisse de la presse depuis le début de cette année. Point de vue appuyé par Pierre Maudet, pour qui cette nouvelle loi est un facteur essentiel de lutte et de prévention face à la menace terroriste.
Le conseiller d’Etat a également affirmé que « la prévention du terrorisme passe évidemment par la lutte contre la radicalisation ». Une lutte illustrée à Genève, par l’ouverture d’un dialogue avec les autorités religieuses et avec la jeunesse afin de détecter la radicalisation précoce, ainsi que des mesures d’encadrement mises en place en milieu carcéral. Genève, qui prend en effet la menace très au sérieux, a déjà pris un certain nombre de dispositions, telles que la formation de 1'400 policiers prêts à intervenir en cas d’attentat, ou encore le renforcement de la sécurité à l’aéroport.
Jean-Luc Vez a exposé trois axes de lutte pour la Suisse face à la menace terroriste ; tout d’abord l’échange de renseignements entre les différents Etats, ensuite au niveau suisse, la nécessité d’un partenariat intercantonal, entre les communes et les organismes, et finalement, celui d’une avancée technologique, notamment dans l’amélioration du cryptage et de l’utilisation d’internet, de manière à combattre la cybercriminalité. « Ces éléments restent à l’heure actuelle des défis au niveau de leur mise en place et de leur application, tant sur le plan national qu’international », a-t-il souligné.
Le conseiller d’Etat a également affirmé que « la prévention du terrorisme passe évidemment par la lutte contre la radicalisation ». Une lutte illustrée à Genève, par l’ouverture d’un dialogue avec les autorités religieuses et avec la jeunesse afin de détecter la radicalisation précoce, ainsi que des mesures d’encadrement mises en place en milieu carcéral. Genève, qui prend en effet la menace très au sérieux, a déjà pris un certain nombre de dispositions, telles que la formation de 1'400 policiers prêts à intervenir en cas d’attentat, ou encore le renforcement de la sécurité à l’aéroport.
Jean-Luc Vez a exposé trois axes de lutte pour la Suisse face à la menace terroriste ; tout d’abord l’échange de renseignements entre les différents Etats, ensuite au niveau suisse, la nécessité d’un partenariat intercantonal, entre les communes et les organismes, et finalement, celui d’une avancée technologique, notamment dans l’amélioration du cryptage et de l’utilisation d’internet, de manière à combattre la cybercriminalité. « Ces éléments restent à l’heure actuelle des défis au niveau de leur mise en place et de leur application, tant sur le plan national qu’international », a-t-il souligné.
